Randan, le livre, la chanson, la poésie, l'amitié, les poètes
En route pour l'aventure! Nous partons pour Randan dans la voiture de Paul avec Pablo. Le chemin est agréable, pour la première fois depuis des lustres (1 lustre est égale à 5 ans) moi pas conduire. Vallons, plaines, rivières, Vichy, et plus loin, un peu plus haut, Randan. Le lieu des festivités, les préparatifs. Rencontre avec Guillaume, l'ingénieur son de cette soirée, Constance, tranquille, magnifique teint de porcelaine, rêveuse, guerrière, lointaine... Edda Mathillon, joviale, courtoise et précise.
Installation du matériel et départ pour l'hébergement chez Edda. Daniel, Laurence et Chritian. Une coupe de champagne est proposée, mais non, je chante dans deux heures...
Retour à Randan. En première partie, des chanteurs et chanteuses reprenant Les compagnons de la Chanson, Edith Piaf, Et puis aussi, Arnaud de la Capitainerie, et celui qu'il accompagne au piano et clavier, je vais me souvenir du prénom un peu plus tard j'espère. Quoiqu'il en soit, un moment intense pour revivre, découvrir, savourer la pleine mesure des paroles ainsi sorties de ses lèvres. Non, pas chantées, mais parlées et offertes comme autant de trésors de l'instant à redécouvrir indéfiniment, les feuilles mortes, cette chanson unique, cette unique chanson, c'est mes souvenirs d'enfance.
Rencontre et interview avec Serge Dillaz, charmant, qui dès le lendemain, présente son livre lors du Salon.
Et c'est à nous, Alain Manaranche nous annonce.
Silence, on joue, on sonne, on touche, on part. Public attenfif et retenu. Heureux il me semble, je le sens, il y a même trois princesses dans la salle. Je joue, je chante, je ne me souviens pas de grand chose, voilà la vérité. Il y a eu des moments intenses, des émotions , de la justesse, au propre comme au figuré.... Les nouvelles chansons font du bien, Tic et Tac au cajon aussi. (ah! ah!) Ca ressemble au bonheur à n'en pas douter!
Le lendemain, ouverture du salon. Du monde, du bruit, des ;-) complices, de franches paroles, de beaux silences. Ca ressemble au bonheur à n'en pas douter (bis)! A tous, merci.... à suivre
photo francis Vernhet